La ville d’Angers accueille dans son Artothèque une exposition « Ravissements » qui est profondément irrespectueuse, voire blasphématoire, envers la religion chrétienne. L’objectif de cette exposition du collectif d’artistes Tarrop & Glabel : Lutter contre la société capitaliste et la religion (sic) !
J’en ai marre de ces pseudos artistes qui se permettent de gravement attaquer la religion chrétienne à travers la personne même du Christ. Pourquoi confondre l’art et la provocation ?
Ces pseudos artistes sont des gagnes petits, co responsables du délitement de la société. NON, il n’est pas possible de ne rien respecter, surtout quand on se permet, trop fréquemment, de jouer les donneurs de leçon…
Il est par ailleurs inadmissible que le maire d’Angers ait accepté de financer pareille exposition. Le politique ne doit-il pas être au service de tous et veiller au respect de chacun ?
Le respect s’impose pour toutes les religions et à tous les croyants… cela n’est pas une option !!
Enfin une bonne expo qui défrise les imbéciles. Vive L’art et vive les artistes subversifs. Stop à tous ces cons intégristes et que notre pauvre candidat se rassure, nous ne voterons pas pour lui. Que Jésus roule une pelle à Mickey, vous devriez en être heureux, il ne parle que d’amour ce collectif d’artistes. Dans un monde triste et barbare, nous sommes enchantés de voir deux icônes se rouler des pelles et peut être même plus si affinité. J’en suis tellement content, que si jamais ils font des petits (jésus et Mickey) j’adopterai bien un membre de la portée.
Bonjour Yves,
Je note votre position par rapport à cette exposition. Vous avez parfaitement le droit de l’apprécier ! Vous avez aussi le droit de respecter les chrétiens et la personne du Christ. Je ne pense pas que l’art en sorte sorte grandi quand elle emprunte les chemins de l’irrespect, de la polémique gratuite et de la division. Vous qui parlez d’amour, nous aurions tous intérêt à nous respecter et à respecter les croyances des autres. Enfin, n’oublions pas que la liberté d’expression s’arrête là ou commence le respect des autres !
Bonsoir Maxence
Il n’y a rien d’irrespectueux dans le fait de voir Jésus embrasser Mickey, au contraire. L’art ne sort pas grandi en étant le valet d’une religion ou d’une doctrine. « L’art c’est la liberté et la liberté n’a pas de limite ». Je constate que de plus en plus nos liberté sont réduites, sous le couvert du respect, nous perdons notre subversion et notre liberté de pensée. Depuis plus de 20 ans, après des années, nous constatons le recul de la liberté d’opinion, artistique et même de la presse. De nos jours, ce sont des gens qui parle comme vous qui nous amènent à la doctrine et aux déviances comme mettre le feux à Charlie Hebdo pour un dessin drôle sur Mahomet. Laissez nous l’humour et la liberté d’exposer ce que l’on pense juste. Vous n’êtes pas obligé d’aller voir les expos et surtout de porter des jugements sans avoir l’exposition incriminée. Quand vous nous dites la liberté d’expression s’arrête là ou commence le respect des autres. Vous vous trompez, d’ailleurs c’est ce genre de théorie qui ne font peur. Relisez Nietzsche « ce ne sont pas les doutes qui rendent fou, mais les certitudes » et vous comprendrez pourquoi les dogmes religieux et politiques nous mènent droit dans le mur.
Bravo pour cette réaction, Maxence. Il est temps que les « artistes » respectent le christianisme comme ils respectent les autres religions.
Les larves ricanantes de type Yves encombrent décidément la Toile. Qu’elles se dépêchent de ricaner…
Un des commentateurs (Yves) dit que « l’art c’est la liberté et que la liberté n’a pas de limites ».
Nous le voudrions bien, Monsieur, oh, que nous le voudrions !
Mais ce n’est, hélas, pas ce que nous constatons.
La liberté, dans notre pays, est à sens unique ; cela est gravissime, et devient graduellement du totalitarisme.
A l’aune de la liberté, concept dont vous vous gargarisez, les artistes sont loin d’être logés tous à la même enseigne: et ce depuis longtemps.
Pendant tout le vingtième siècle, (et bien avant, bien sûr, mais nous ne pouvons pas faire de remontées historiques trop lointaines) et jusqu’à maintenant, des artistes, des créateurs -et cela est très « visible » en littérature- sont maudits et interdits d’édition ou de réédition en raison de leurs positions (exprimées non pas tant dans leurs oeuvres que dans leurs travaux annexes de journalistes par ex.).
Si Céline a pu faire exception, ce n’est pas le cas (exemple entre cent) de Lucien Rebatet, dont l’oeuvre littéraire pourtant admirable (je ne parle pas des pamphlets, interdits de réimpression depuis fort longtemps.. Au fait, vous avez dit liberté ?…) est totalement occultée.
Beauté interdite, donc.
Trésor sous le boisseau.
Tout à fait d’accord avec la liberté de création (quelles que soient les créations, même les plus consternantes, et les plus avilissantes, pourquoi pas ?) mais qu’il s’agisse alors de TOUTES les créations. Si un quidam voulait se gausser en paroles, en dessins…des gays, des bi, des trans, des musulmans, des juifs, des kurdes, des noirs ou de tout autres que des blancs (et chrétiens de surcroît) je pense qu’il aurait vraiment intérêt à se barricader, avoir des gardes du corps, et une énergie psychique hors du commun pour résister à l’avalanche d’anathèmes, de menaces graves -sous-tendues ou non par nos lois- qui se déverseraient immédiatement sur lui…
Mais cracher sur le christianisme avec des piss’Christ et autres « créations » -géniales- cela va sans dire, quelle délectation ! Sans risque, celle-là.
J’attire donc l’attention sur le fait qu’on s’attaque aux faibles (si la chrétienté a pu à maintes reprises de son histoireabuser de sa force, elle est maintenant exsangue, donc cible facile à atteindre) et quand on s’attaque aux faibles et seulement à eux, cela s’appelle, Monsieur, de la lâcheté. C’est tout… Il faut simplement en avoir conscience : on accomplit un forfait en toute impunité… Or l’impunité démultiplie les désirs d’accomplir des forfaits, n’est-ce pas ?
Cette liberté dont vous faites l’apologie n’est donc pas glorieuse.
C’est ce que je peux dire.